Randonnée au Camp Celtique dans le Massif de la Bure à Saint Dié des Vosges le jeudi 25 septembre 2014.
Nous nous sommes retrouvés à quelques trente randonneurs en cette belle matinée d’automne du 25 septembre 2014 au Col de la Crénée distant de 7km du centre-ville de Saint Dié des Vosges, pour grimper par un sentier en pente douce sur l’éperon rocheux de la Bure qui constituait, dès la fin du néolithique, (3500 ans – 2000 ans av.JC.) un camp retranché. D’une superficie de 3 ha il est protégé par des à pic rocheux et domine de 250m deux vallées qui donnent accès, l’une au col de Saales (vallée du Hure) l’autre à ceux de Saint Marie et du Bonhomme, (vallée de la Meurthe). Ce campement retranché se fortifiera au fil des siècles et constituera un véritable refuge Gallo-Romain contre les invasions barbares dans les années 70 av. JC à 360 après JC.
Des fouilles superficielles ont été entamées au milieu du 19°s. par l’avocat déodatien Edouard Ferry, parent de Jules Ferry.
Nous avons pu profiter des nombreuses explications recueillies auprès de la Société Philomatique Vosgienne dont le siège est à Saint Dié et qui dans le milieu du XX° siècle s’est attelée à des fouilles méthodiques qui ont permis de découvrir de nombreuses stèles mortuaires, outils forgés, (présence d’une forge sur la camp) d’armes et de monnaies gauloises (les potins Leuci) et romaines.
La visite de deux heures a contenté tous les participants. Vers 12h30 nous avons retrouvé au Restaurant des 2 frères à Saulcy sur Meurthe les quinze autres camarades qui nous attendaient pour partager un repas bien venu. Ce fut une belle journée pour tout le monde.
Jean-Pierre Fèvre
Délégué adjoint ADR VOSGES
Nous nous sommes retrouvés à plus 40 dans la cité Mircurtienne pour une visite matinale des plus agréable du Musée de la Lutherie puis celui de la Maison de la Musique Mécanique le mardi 03 juin 2014
A Mirecourt, il existe une tradition de fabrication d’instruments à cordes et d’archets depuis trois siècles au moins. C’est aussi dans cette petite ville des Vosges que de nombreux artisans et ouvriers français ont appris ces deux savoir-faire – la lutherie et l’archèterie - pour ensuite exercer leur métier sur place ou ailleurs en France et à l’étranger. Le musée de la lutherie et de l’archèterie françaises de Mirecourt rend hommage à ses artisans d’art avec des expositions qui présentent un des éléments essentiels du patrimoine musical et artisanal de la Lorraine. Patrimoine sous-tendu par des techniques et des valeurs qui se transmettent encore de nos jours. Aujourd’hui la seule école en France où est enseigné l’art de fabriquer des violons, altos et violoncelles est à Mirecourt.
Il ne faut pas moins de cinq essences de bois (érable , épicéa etc…) et une centaine d’heures de travail pour fabriquer un violon mais très étonnamment une centaine d’heures également à l’archetier pour fabriquer un archet… la visite fut très instructive et le temps a passé trop vite.
Nous nous sommes rendus ensuite à La Maison de la musique mécanique dont la visite nous a enchantée au sens propre et au figuré puisque notre charmante guide nous a fait chanter des chansons du début du XX°s. (telle que Frou Frou ou le Temps des cerises) pour accompagner la musique des orgues de barbarie. Chacune et chacun y sont allés de bon cœur.
A midi trente nous nous sommes restaurés au restaurant du « Chaudron », Gilles Schmitt le DRH du Groupe de Nancy nous a fait plaisir d’être parmi nous, il représentait également son Directeur empêché.
La journée c’est terminée vers 16h30 et chacun est reparti avec l’espoir d’une prochaine rencontre en septembre qui est prévue aux environs de Saint Dié des Vosges, la si bien nommée Capitale des Hautes Vosges.
J-Pierre Fèvre
Nos retrouvailles pour la galette des Rois ce mardi 21 janvier 2014 à Chaumousey.
Par une fraîche journée d’hiver sans neige, nous nous sommes retrouvés à Chaumousey à 6 km à l’ouest d’Epinal, au Restaurant « le Calmosien » pour fêter les Rois comme il se doit.
Cette réunion amicale a permis de nous retrouver à 65 convives autour d’une belle table pour déguster un excellent repas qui a fait l’unanimité concernant la qualité et l’amabilité du personnel.
Notre délégué régional Alsace/Lorraine en la personne de Jean-Claude Coupé, accompagné de son épouse, nous a fait le plaisir d’être parmi nous.
Notre délégué Jean-Jacques Gérard dans son allocution d’accueil n’a pas manqué de saluer la présence de nouveaux retraités qui sont : Marie Odile Pierre, Renée Parisot et Jean-Yves Paquotte, tous trois Vosgiens, ayant accompli leur carrière sur le département.
A cette occasion, Jean-Jacques s’est fendu d’un poème fort agréable de sa composition, qui salue le passage à l’état de retraité dont nous reprenons le texte* à la fin de ce compte rendu…
Le repas s’est déroulé dans une joyeuse ambiance et au café il a été tiré au sort des cadeaux issus du trésor de guerre de l’ADR National, à savoir des calendriers, des stylos à bille et des blocs notes. Tout le monde a été gâté.
Nous nous sommes quittés vers les 17h sous un soleil d’hiver qui tardait à se mettre au lit, en nous promettant de nous retrouver fin mai début juin pour une rencontre culturelle dont le lieu est tenu secret par l’équipe d’organisation.
A très bientôt !
La ballade du retraité
Cela fait quelques années, j'ai cédé ma place
De mon emploi il n'y a plus aucune trace.
Avec ou sans regret mais les dés sont jetés
J'ai fini de travailler, je suis retraité.
Il me reste des souvenirs de carrière
C'est amusant de revenir en arrière
Des mauvais, des bons, le parcours est jalonné
Les meilleurs d'entre eux ma mémoire a gardé.
C'est ainsi que la vie dite active se passe
Riche en événements quoiqu'on dise ou fasse
Et de toutes ces années passées au boulot,
Pour qu'au foyer rien ne manque et tout soit beau.
Maintenant à moi les loisirs et les passions,
J'ai le temps d'assouvir mes hobbies sans raison,
Profiter de mes amis et de mes proches
Et ne plus dépendre du son de la cloche.
J'espère que vous aussi sans aucune manière
Goutez à toutes les joies que la vie vous sert.
Je souhaite à tous que rien ne vous manque
À vous mes amis, les anciens de la Banque.
Jean-Jacques Gérard